Leif Ove Andsnes
Leif Ove Andsnes ©Özgür Albayrak

Leif Ove Andsnes

 

C’est avec deux pages superbement mélancoliques que Chopin termine sa série des Nocturnes. Un demi siècle plus tard, cette atmosphère de rêverie trouvera une prolongation chez Debussy qui, dans le premier livre incantatoire des Images ou dans Estampes, réinvent la sonorité du piano dans des invocations magiques d’un Orient fantomatique. Pour Leif Ove Andsnes, le plus fougueux des pianistes, ce sera un moment de rêve pour montrer son toucher de velours et sa fibre poétique avant de plonger dans l’atmosphère fiévreuse des Ballades de Chopin, poèmes sans paroles réservés uniquement aux virtuoses hors pair.

C’est avec deux pages superbement mélancoliques que Chopin termine sa série des Nocturnes. Un demi siècle plus tard, cette atmosphère de rêverie trouvera une prolongation chez Debussy qui, dans le premier livre incantatoire des Images ou dans Estampes, réinvent la sonorité du piano dans des invocations magiques d’un Orient fantomatique. Pour Leif Ove Andsnes, le plus fougueux des pianistes, ce sera un moment de rêve pour montrer son toucher de velours et sa fibre poétique avant de plonger dans l’atmosphère fiévreuse des Ballades de Chopin, poèmes sans paroles réservés uniquement aux virtuoses hors pair.