L'Occasion fait le Larron 1
La Grande Écurie et la Chambre du Roy ©Danielle Pierre

L'Occasion fait le Larron

C’est l’esprit même de la collégialité qui souffle sur la Grande Écurie et la Chambre du Roy, tout comme celui du vaudeville imprègne l’Occasion fait le larron, rare opéra rossinien à se jouer en un acte. Profitez bien qu’ici, le librettiste se soit donné à cœur joie : un quiproquo né d’un échange de valises dans une auberge de campagne donne lieu à un ravissant tohu-bohu, dans lequel l’audacieux Don Parmenione se fait passer pour le Comte Alberto dans l’espoir d’épouser sa promise, elle-même grimée sous les traits d’une femme de chambre !

Une équipe vocale rompue à ce répertoire a été spécialement réunie pour servir cette version de concert et l’ensemble devrait avoir les couleurs de l’historicité, c’est-à-dire voltiger, cabrioler et délasser comme il est de mise dans cette Italie napoléonienne de 1812.

C’est l’esprit même de la collégialité qui souffle sur la Grande Écurie et la Chambre du Roy, tout comme celui du vaudeville imprègne l’Occasion fait le larron, rare opéra rossinien à se jouer en un acte. Profitez bien qu’ici, le librettiste se soit donné à cœur joie : un quiproquo né d’un échange de valises dans une auberge de campagne donne lieu à un ravissant tohu-bohu, dans lequel l’audacieux Don Parmenione se fait passer pour le Comte Alberto dans l’espoir d’épouser sa promise, elle-même grimée sous les traits d’une femme de chambre !

Une équipe vocale rompue à ce répertoire a été spécialement réunie pour servir cette version de concert et l’ensemble devrait avoir les couleurs de l’historicité, c’est-à-dire voltiger, cabrioler et délasser comme il est de mise dans cette Italie napoléonienne de 1812.