Lucas & Arthur Jussen
Lucas & Arthur Jussen © Marco Borggreve

Lucas & Arthur Jussen

 

« Brillant », l’Opus 92 de Mendelssohn ! Mais presque un simple échauffement pour Lucas et Arthur Jussen, qui nous réservent une soirée à haute densité émotionnelle et virtuose.

Autrement métaphysique, la Fantaisie que Schubert dédie en 1828 à la comtesse Caroline Estherázy explore en effet les tréfonds de l’âme romantique. Puis viendra la danse. D’abord à trois temps, avec l’hommage de Ravel à l’Autriche de Strauss pour les Ballets russes de Diaghilev. Soit, selon l’auteur, « une espèce d’apothéose de la valse viennoise à laquelle se mêle dans mon esprit l’impression d’un tourbillon fantastique et fatal ». Les Néerlandais se mesureront enfin au Sacre du Printemps, dont le Théâtre des Champs-Élysées se souvient encore du scandale (chorégraphique) de la création le 29 mai 1913.

« Brillant », l’Opus 92 de Mendelssohn ! Mais presque un simple échauffement pour Lucas et Arthur Jussen, qui nous réservent une soirée à haute densité émotionnelle et virtuose.

Autrement métaphysique, la Fantaisie que Schubert dédie en 1828 à la comtesse Caroline Estherázy explore en effet les tréfonds de l’âme romantique. Puis viendra la danse. D’abord à trois temps, avec l’hommage de Ravel à l’Autriche de Strauss pour les Ballets russes de Diaghilev. Soit, selon l’auteur, « une espèce d’apothéose de la valse viennoise à laquelle se mêle dans mon esprit l’impression d’un tourbillon fantastique et fatal ». Les Néerlandais se mesureront enfin au Sacre du Printemps, dont le Théâtre des Champs-Élysées se souvient encore du scandale (chorégraphique) de la création le 29 mai 1913.