Adam Laloum
Adam Laloum © Julien Benhamou

Adam Laloum

 

« Le public mettra du temps à sortir du songe dans lequel il a été plongé par ce jeune homme de 35 ans dont la conviction musicale est tout entière soumise à un texte déchirant qui fait entrevoir la vie désespérément sans amour partagé de Schubert », écrivait le spécialiste Alain Lompech à propos du dernier concert d’Adam Laloum sur nos planches.

De son cher Franz, le pianiste explore cette fois des sonates plus anciennes (1817), encore toutes imprégnées de classicisme. Plus romantique, le reste du programme interrogera deux autres compositeurs fétiches de l’interprète où l’Opus 5 de Brahms gravé en 2021, répondra à l’étrangeté fantomatique des Kreisleriana de Schumann.

« Le public mettra du temps à sortir du songe dans lequel il a été plongé par ce jeune homme de 35 ans dont la conviction musicale est tout entière soumise à un texte déchirant qui fait entrevoir la vie désespérément sans amour partagé de Schubert », écrivait le spécialiste Alain Lompech à propos du dernier concert d’Adam Laloum sur nos planches.

De son cher Franz, le pianiste explore cette fois des sonates plus anciennes (1817), encore toutes imprégnées de classicisme. Plus romantique, le reste du programme interrogera deux autres compositeurs fétiches de l’interprète où l’Opus 5 de Brahms gravé en 2021, répondra à l’étrangeté fantomatique des Kreisleriana de Schumann.