Elena Galitskaya, Michel Portal, Michel Dalberto 1
Michel Portal ©Lisa Roze

Michel Portal clarinette

Jean-Claude Pennetier piano

Régis Pasquier violon

Miguel da Silva alto

Roland Pidoux violoncelle

Marc Marder contrebasse

NOTES DE PROGRAMME :

Der Schauspieldirektor, Le Nozze di Figaro, le Concerto pour piano n°25,
J. Haydn, la Symphonie n°82 « L’Ours »
Madame de Staël tient salon à Paris et F. Goya est nommé peintre du roi d’Espagne
Il semblerait que ce soit la première fois qu’un compositeur réunisse ces trois instruments.  La forme sera reprise par Robert Schumann et Max Bruch. Mozart instaure un dialogue subtil entre ces trois instruments, sur le ton de confidences intimes, tout en délicatesse, et sans virtuosité, Mozart ayant choisi de mettre en valeur les qualités lyriques de l’alto et de la clarinette. L’œuvre tient du divertissement par sa grande liberté. La pièce se termine par un «Rondeaux» (Mozart voulait un mot français, au lieu de la terminologie traditionnelle de «rondo») éblouissant.
Écrite également pendant l’été, en 1819, à Steyr, puis terminée durant l’automne à Vienne, cette pièce, comme le Trio des Quilles, fut composée pour un divertissement entre amis.
La pièce doit son nom à son 4ème mouvement construit autour de variations sur le Lied «Die Forelle» (la Truite).
Car, contrairement aux quintettes avec piano, le piano n’est pas traité ici comme un soliste, mais comme un instrument mélodique fondu aux cordes : tous – sauf la contrebasse – ont la même importance. C’est souvent au piano qu’est confié le sextuplet ascendant utilisé comme leitmotiv tout au long de la pièce.

NOTES DE PROGRAMME :

Der Schauspieldirektor, Le Nozze di Figaro, le Concerto pour piano n°25,
J. Haydn, la Symphonie n°82 « L’Ours »
Madame de Staël tient salon à Paris et F. Goya est nommé peintre du roi d’Espagne
Il semblerait que ce soit la première fois qu’un compositeur réunisse ces trois instruments.  La forme sera reprise par Robert Schumann et Max Bruch. Mozart instaure un dialogue subtil entre ces trois instruments, sur le ton de confidences intimes, tout en délicatesse, et sans virtuosité, Mozart ayant choisi de mettre en valeur les qualités lyriques de l’alto et de la clarinette. L’œuvre tient du divertissement par sa grande liberté. La pièce se termine par un «Rondeaux» (Mozart voulait un mot français, au lieu de la terminologie traditionnelle de «rondo») éblouissant.
Écrite également pendant l’été, en 1819, à Steyr, puis terminée durant l’automne à Vienne, cette pièce, comme le Trio des Quilles, fut composée pour un divertissement entre amis.
La pièce doit son nom à son 4ème mouvement construit autour de variations sur le Lied «Die Forelle» (la Truite).
Car, contrairement aux quintettes avec piano, le piano n’est pas traité ici comme un soliste, mais comme un instrument mélodique fondu aux cordes : tous – sauf la contrebasse – ont la même importance. C’est souvent au piano qu’est confié le sextuplet ascendant utilisé comme leitmotiv tout au long de la pièce.