Nikolaï Lugansky 4
Nikolaï Lugansky ©Marco Borggreve

Nikolaï Lugansky

 

Ce grand seigneur du piano – dont la cote d’amour auprès du public français semble ne jamais devoir faiblir – se confronte aux Saisons de Tchaikovsky, qui font actuellement l’objet de toujours plus d’attention de la part des solistes. Qui s’en plaindrait quand un pianiste à l’ego raisonnable s’en empare, passant de la tendre nostalgie de Juin à la vitalité réjouissante d’Août et au chic de la valse de Décembre avec la même évidence ? Toujours juste, Nikolaï Lugansky magnifie ce cycle au charme contagieux. Sa technique immaculée, sa noblesse innée, la pureté de ses phrasés rendent ensuite justice à trois des partitions les plus inspirées de Chopin, épopées fiévreuses au chant profondément intime.

Ce grand seigneur du piano – dont la cote d’amour auprès du public français semble ne jamais devoir faiblir – se confronte aux Saisons de Tchaikovsky, qui font actuellement l’objet de toujours plus d’attention de la part des solistes. Qui s’en plaindrait quand un pianiste à l’ego raisonnable s’en empare, passant de la tendre nostalgie de Juin à la vitalité réjouissante d’Août et au chic de la valse de Décembre avec la même évidence ? Toujours juste, Nikolaï Lugansky magnifie ce cycle au charme contagieux. Sa technique immaculée, sa noblesse innée, la pureté de ses phrasés rendent ensuite justice à trois des partitions les plus inspirées de Chopin, épopées fiévreuses au chant profondément intime.