
Quatuor Artemis
Vineta Sareika violon
Gregor Sigl violon
Friedemann Weigle alto
Eckart Runge violoncelle
Beethoven
Quatuor à cordes d’après la sonate pour piano n°9
en mi majeur opus 14 n°1
Quatuor à cordes n°10 en mi bémol majeur opus 74
les Harpes
Quatuor à cordes n°14 en ut dièse mineur opus 131
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 25€ | 12€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités 20€ (nous contacter)
Très polyphonique, la Sonate pour piano op. 14 n° 1 semble demander à être jouée par plusieurs instruments et Beethoven lui-même se chargea de la transcription pour quatuor. Ecrit d’un seul jet, le Dixième quatuor (1809) alterne des épisodes très chantants, des atmosphères bucoliques et de véritables orages qui, comme dans le Scherzo, éclatent avec une force inouïe. A l’inverse, le fascinant et labyrinthique Quatuor n° 14 (1826) coule sans la moindre interruption de son premier mouvement jusqu’à la dernière note comme dans un état d’apesanteur, dans un flot continu de musique : jamais Beethoven ne s’est montré aussi novateur, aussi libre, aussi visionnaire.
Pablo Galonce
Très polyphonique, la Sonate pour piano op. 14 n° 1 semble demander à être jouée par plusieurs instruments et Beethoven lui-même se chargea de la transcription pour quatuor. Ecrit d’un seul jet, le Dixième quatuor (1809) alterne des épisodes très chantants, des atmosphères bucoliques et de véritables orages qui, comme dans le Scherzo, éclatent avec une force inouïe. A l’inverse, le fascinant et labyrinthique Quatuor n° 14 (1826) coule sans la moindre interruption de son premier mouvement jusqu’à la dernière note comme dans un état d’apesanteur, dans un flot continu de musique : jamais Beethoven ne s’est montré aussi novateur, aussi libre, aussi visionnaire.
Pablo Galonce