Quatuor de Jérusalem 3
Quatuor de Jérusalem ©Felix Broede

Quatuor de Jérusalem

Alexander Pavlovsky violon
Sergei Bresler violon
Ori Kam alto
Kyril Zlotnikov violoncelle 

Concert annulé en raison de l’attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan

Fondé en 1993, le Quatuor Jérusalem s’est imposé, après avoir remporté plusieurs prix au concours Schubert de Graz, comme un ensemble de musique de chambre incontournable. Signe de cette reconnaissance, Daniel Barenboim leur a prêté le violoncelle « Sergio Perresson » – du nom d’un célèbre luthier italien du XXe siècle – ayant appartenu à Jacqueline Du Pré. Particulièrement à l’aise dans le répertoire classique (Haydn, Mozart) et romantique, il s’attèle désormais au nec plus ultra chambriste, l’imposant massif des seize  quatuors de Beethoven. Parmi les plus équilibrés de tous, en termes de clarté de structure et de richesse mélodique, les trois choisis par le Quatuor datent des alentours de 1800. Le dernier est particulièrement remarquable par son dernier mouvement, sous-titré « Malinconia »,  d’une ampleur et d’une beauté drapée effectivement d’une ineffable mélancolie.

Concert annulé en raison de l’attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan

Fondé en 1993, le Quatuor Jérusalem s’est imposé, après avoir remporté plusieurs prix au concours Schubert de Graz, comme un ensemble de musique de chambre incontournable. Signe de cette reconnaissance, Daniel Barenboim leur a prêté le violoncelle « Sergio Perresson » – du nom d’un célèbre luthier italien du XXe siècle – ayant appartenu à Jacqueline Du Pré. Particulièrement à l’aise dans le répertoire classique (Haydn, Mozart) et romantique, il s’attèle désormais au nec plus ultra chambriste, l’imposant massif des seize  quatuors de Beethoven. Parmi les plus équilibrés de tous, en termes de clarté de structure et de richesse mélodique, les trois choisis par le Quatuor datent des alentours de 1800. Le dernier est particulièrement remarquable par son dernier mouvement, sous-titré « Malinconia »,  d’une ampleur et d’une beauté drapée effectivement d’une ineffable mélancolie.