Sol Gabetta, Bertrand Chamayou 5
Gabetta et Chamayou ©Joachim Schmid

Sol Gabetta

violoncelle

Bertrand Chamayou

piano

Ils étaient vraiment faits pour se rencontrer, et pourtant tout les séparait a priori, encore que la musique de chambre soit une passion pour l’un comme pour l’autre. Lui le Lisztien solitaire, dont les Années de pèlerinage ont été unanimement acclamées, elle, aussi à l’aise dans son projet Vivaldi, avec son précieux violoncelle Guadagnini que dans les concertos du XXe siècle comme ceux de Martinu ou de Barber, et une autre priorité commune, la musique de leur temps pour laquelle ils n’hésitent pas à passer commande. Après un programme Beethoven, Rachmaninov l’an dernier, ils restent aujourd’hui du côté de leurs classiques, Schumann et Brahms, et sans doute comme un clin d’œil aux origines en partie russes de Sol Gabetta, Chostakovitch.

Ils étaient vraiment faits pour se rencontrer, et pourtant tout les séparait a priori, encore que la musique de chambre soit une passion pour l’un comme pour l’autre. Lui le Lisztien solitaire, dont les Années de pèlerinage ont été unanimement acclamées, elle, aussi à l’aise dans son projet Vivaldi, avec son précieux violoncelle Guadagnini que dans les concertos du XXe siècle comme ceux de Martinu ou de Barber, et une autre priorité commune, la musique de leur temps pour laquelle ils n’hésitent pas à passer commande. Après un programme Beethoven, Rachmaninov l’an dernier, ils restent aujourd’hui du côté de leurs classiques, Schumann et Brahms, et sans doute comme un clin d’œil aux origines en partie russes de Sol Gabetta, Chostakovitch.