Love will find a way
Une célébration du répertoire anglais
de l'époque Baroque à nos jours
Come again – John Dowland
Blind man – Thomas Dunford & Doug Balliett
If love’s a sweet passion – Henry Purcell
Something – The Beatles (George Harrison)
Strike the viol – Henry Purcell
We are the ocean – T. Dunford & D. Balliett
A dream – John Dowland
Sometimes – T. Dunford & D. Balliett
A ground in G minor – Henry Purcell
Take me back to you – T. Dunford & D. Balliett
An evening hymn – Henry Purcell
Blackbird – The Beatles (Paul Mccartney)
That’s so you – T. Dunford & D. Balliett
King of Denmark’s galliard – John Dowland
Can she excuse my wrongs – John Dowland
Let it be – The Beatles (Paul Mccartney)
Frog galliard – John Dowland
Now o Now I needs must part – John Dowland
Chaconne – Henry Purcell
Imagine – John Lennon
Love will find a way – T. Dunford & D. Balliett
Ensemble Jupiter
Thomas Dunford
chant, luth et direction
Laurence Kilsby
chant
Théâtre des Champs-Élysées
65€ – 50€– 38€ – 26€ – 10€ – 5€
Au sein de toutes les formations possibles avec les plus grands chefs « historiquement informés » de notre temps (William Christie, John Eliot Gardiner, Philippe Herreweghe, etc.), à la tête de l’Ensemble Jupiter fondé il y a sept ans, en duo avec Lea Desandre ou en solo face à Bach, Thomas Dunford affiche une apparente décontraction.
Surdoué des cordes pincées, d’aucuns le tiennent pour le « Eric Clapton du luth » (BBC Music Magazine). Auteur-compositeur-interprète, il ordonne ce soir un programme qui mêlera Purcell aux Beatles, Dowland à Berstein. Soit un voyage à travers les époques et les styles qui se terminera par ses propres chansons, influencées par le jazz, le baroque et la pop. Et un « bœuf » en bis ? On l’en sait très capable.
Au sein de toutes les formations possibles avec les plus grands chefs « historiquement informés » de notre temps (William Christie, John Eliot Gardiner, Philippe Herreweghe, etc.), à la tête de l’Ensemble Jupiter fondé il y a sept ans, en duo avec Lea Desandre ou en solo face à Bach, Thomas Dunford affiche une apparente décontraction.
Surdoué des cordes pincées, d’aucuns le tiennent pour le « Eric Clapton du luth » (BBC Music Magazine). Auteur-compositeur-interprète, il ordonne ce soir un programme qui mêlera Purcell aux Beatles, Dowland à Berstein. Soit un voyage à travers les époques et les styles qui se terminera par ses propres chansons, influencées par le jazz, le baroque et la pop. Et un « bœuf » en bis ? On l’en sait très capable.