Trio Wanderer
Vincent Coq piano
Jean-Marc Phillips-Varjabédian violon
Raphaël Pidoux violoncelle
Dvořák
Trio pour piano, violon et violoncelle n°4 en mi mineur opus 90 B. 166 « Dumky »
SCHUBERT
Trio pour piano, violon et violoncelle n°1 en si bémol majeur opus 99 D. 898
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
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Le Trio Wanderer fête cette année ses 30 ans d’existence, portant haut, plus que jamais, le prestige de la musique de chambre dans le monde entier. Titulaire des plus hautes récompenses – dont trois Victoires de la musique classique -, à la tête d’une importante discographie, doté d’un répertoire foisonnant, il reste un modèle de pérennité et de cohésion. Cette complicité, cette évidence, forment le socle d’une excellence unanimement célébrée. Deux chefs-d’œuvre au programme : l’emblématique Dumky de Dvořák, carte de visite du compositeur, porte d’entrée idéale au monde slave, à sa vitalité teintée de mélancolie. Et le premier Trio de Schubert, miracle de fraîcheur douloureuse, de gaieté fragile, grâce auquel, selon Schumann, « toute la misère de l’existence s’évanouit comme par enchantement ».
Le Trio Wanderer fête cette année ses 30 ans d’existence, portant haut, plus que jamais, le prestige de la musique de chambre dans le monde entier. Titulaire des plus hautes récompenses – dont trois Victoires de la musique classique -, à la tête d’une importante discographie, doté d’un répertoire foisonnant, il reste un modèle de pérennité et de cohésion. Cette complicité, cette évidence, forment le socle d’une excellence unanimement célébrée. Deux chefs-d’œuvre au programme : l’emblématique Dumky de Dvořák, carte de visite du compositeur, porte d’entrée idéale au monde slave, à sa vitalité teintée de mélancolie. Et le premier Trio de Schubert, miracle de fraîcheur douloureuse, de gaieté fragile, grâce auquel, selon Schumann, « toute la misère de l’existence s’évanouit comme par enchantement ».