Alexandra Dovgan
Alexandra Dovgan © Irina Schymchak

Alexandra Dovgan

piano

 

Octobre 2019 : du haut de ses douze ans, Alexandra Dovgan donnait ici son premier concert parisien. Probablement intrigué par la précocité de la pianiste et sans doute attiré par la recommandation de Grigory Sokolov, le public venait d’abord entendre un phénomène. 

La curiosité passée, c’est une authentique musicienne que les mélomanes du matin se réjouissent désormais de retrouver, assistant, une saison après l’autre, au développement de son répertoire. Répertoire dont Beethoven paraît le socle. Si la Pathétique ouvrait déjà ses débuts chez nous, la Russe vise cette fois encore plus haut : à peine entrée en scène, elle affrontera l’Opus 110, trente-et-unième sonate tout au sommet de la littérature.

Octobre 2019 : du haut de ses douze ans, Alexandra Dovgan donnait ici son premier concert parisien. Probablement intrigué par la précocité de la pianiste et sans doute attiré par la recommandation de Grigory Sokolov, le public venait d’abord entendre un phénomène. 

La curiosité passée, c’est une authentique musicienne que les mélomanes du matin se réjouissent désormais de retrouver, assistant, une saison après l’autre, au développement de son répertoire. Répertoire dont Beethoven paraît le socle. Si la Pathétique ouvrait déjà ses débuts chez nous, la Russe vise cette fois encore plus haut : à peine entrée en scène, elle affrontera l’Opus 110, trente-et-unième sonate tout au sommet de la littérature.