Alexandra Dovgan 4
Alexandra Dovgan © Oscar Tursunov

Alexandra Dovgan

piano

Inutile d’encore vanter les dispositions précoces d’Alexandra Dovgan, pianiste née en 2007 dont Grigory Sokolov vous dira qu’il faut la juger comme une musicienne accomplie plutôt que comme une adolescente prodige. Le programme du jour lui donnera sans doute raison.

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Difficile d’imaginer plus grand écart entre le Carnaval de Vienne de Schumann – où « fusent les feux jaillissants de l’espiègle moquerie et de la pétulance la plus folâtre », notait en son temps l’Allgemeine Musikalische Zeitung – et les intimes confidences de l’Opus 117 de Brahms. Les variations que le cher Johannes tirait en 1851 d’un thème de la Suite pour clavecin n°1 de Haendel clôtureront cette matinée que l’on attend haute en couleurs.

Inutile d’encore vanter les dispositions précoces d’Alexandra Dovgan, pianiste née en 2007 dont Grigory Sokolov vous dira qu’il faut la juger comme une musicienne accomplie plutôt que comme une adolescente prodige. Le programme du jour lui donnera sans doute raison.

Difficile d’imaginer plus grand écart entre le Carnaval de Vienne de Schumann – où « fusent les feux jaillissants de l’espiègle moquerie et de la pétulance la plus folâtre », notait en son temps l’Allgemeine Musikalische Zeitung – et les intimes confidences de l’Opus 117 de Brahms. Les variations que le cher Johannes tirait en 1851 d’un thème de la Suite pour clavecin n°1 de Haendel clôtureront cette matinée que l’on attend haute en couleurs.