Fazıl Say 7
Fazıl Say © Marco Borggreve

Fazıl Say

 

Voilà plus d’un quart de siècle que les commentateurs de tout bord soulignent la brillance théâtrale de son style. À 50 ans passés, Fazıl Say n’a pas fini d’étonner. L’Avenue Montaigne redécouvrira cette fois une Suite de Georg Friedrich Haendel à la sarabande familière, une sonate de « papa » Haydn taillée pour son jeu plein de surprises, et l’ultime confession pianistique de Franz Schubert.

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Que le Turc roule sa bosse de virtuose à travers le monde entier ne l’empêche pas d’alimenter son propre catalogue, riche d’une centaine d’entrées. Il signe donc lui-même l’œuvre moderne du soir, Opus 99 sous-titré « Nouvelle vie ».
Rien que ça…

Voilà plus d’un quart de siècle que les commentateurs de tout bord soulignent la brillance théâtrale de son style. À 50 ans passés, Fazıl Say n’a pas fini d’étonner. L’Avenue Montaigne redécouvrira cette fois une Suite de Georg Friedrich Haendel à la sarabande familière, une sonate de « papa » Haydn taillée pour son jeu plein de surprises, et l’ultime confession pianistique de Franz Schubert.

Que le Turc roule sa bosse de virtuose à travers le monde entier ne l’empêche pas d’alimenter son propre catalogue, riche d’une centaine d’entrées. Il signe donc lui-même l’œuvre moderne du soir, Opus 99 sous-titré « Nouvelle vie ».
Rien que ça…