Nikolaï Lugansky
Nikolaï Lugansky © Jean-Baptiste Millot

Nikolaï Lugansky

 

Halte à la triskaïdékaphobie !
Que la peur du chiffre treize – soit le nombre de préludes constituant l’Opus 32 (1910) de Rachmaninov – ne vous décourage pas de venir écouter les prouesses virtuoses et musicales de Nikolaï Lugansky, dans la dernière ligne droite d’un cycle comme on en fait peu.

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Passé les célèbres Moments musicaux, meilleure preuve qui soit, en 1896, que le romantisme n’est pas mort, place à la Sonate n°2 (1913), dont notre interprète du soir, qui en fixa une interprétation de référence pour Erato, sait déclencher les tempêtes autant que chanter – sans s’épancher – les idées plus poétiques.

Difficile, le chef-d’œuvre ? Peut-être.
Inabordable, sûrement pas.

Halte à la triskaïdékaphobie !
Que la peur du chiffre treize – soit le nombre de préludes constituant l’Opus 32 (1910) de Rachmaninov – ne vous décourage pas de venir écouter les prouesses virtuoses et musicales de Nikolaï Lugansky, dans la dernière ligne droite d’un cycle comme on en fait peu.

Passé les célèbres Moments musicaux, meilleure preuve qui soit, en 1896, que le romantisme n’est pas mort, place à la Sonate n°2 (1913), dont notre interprète du soir, qui en fixa une interprétation de référence pour Erato, sait déclencher les tempêtes autant que chanter – sans s’épancher – les idées plus poétiques.

Difficile, le chef-d’œuvre ? Peut-être.
Inabordable, sûrement pas.