Quatuor Hanson
Quatuor Hanson © Bernard Martinez

Quatuor Hanson

Anton Hanson violon
Jules Dussap violon
Gabrielle Lafait alto
Simon Dechambre violoncelle

 

Les Hanson nous régalaient l’an dernier d’un concert où le XXe siècle dialoguait avec la Première École de Vienne. Ils remettent ça ce matin en conviant deux compositeurs souvent rapprochés l’un de l’autre.

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De Chostakovitch, nous entendront le Quatuor n°4 (1949), composé alors qu’une grande partie de son catalogue vient d’être interdit par le régime. De Beethoven, la formation sondera ensuite l’immense Quatorzième, dans lequel Wagner entendait tour à tour « la chose la plus mélancolique que la musique n’ait jamais exprimée », une « consultation tenue avec Dieu », et « la danse du monde lui-même : plaisir sauvage, plainte douloureuse, extase d’amour, joie suprême, gémissement, furie, volupté et souffrance […] ». Tout un programme.

Les Hanson nous régalaient l’an dernier d’un concert où le XXe siècle dialoguait avec la Première École de Vienne. Ils remettent ça ce matin en conviant deux compositeurs souvent rapprochés l’un de l’autre.

De Chostakovitch, nous entendront le Quatuor n°4 (1949), composé alors qu’une grande partie de son catalogue vient d’être interdit par le régime. De Beethoven, la formation sondera ensuite l’immense Quatorzième, dans lequel Wagner entendait tour à tour « la chose la plus mélancolique que la musique n’ait jamais exprimée », une « consultation tenue avec Dieu », et « la danse du monde lui-même : plaisir sauvage, plainte douloureuse, extase d’amour, joie suprême, gémissement, furie, volupté et souffrance […] ». Tout un programme.