Seong-Jin Cho piano

 

« Son jeu cantabile et délié, à la virtuosité phénoménale, son piano parfumé et élégant, ranime l’âme d’un Chopin des temps anciens », notait un jour Classica.

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Mais avant de faire valser le salon de son cher Frédéric, Seong-Jin Cho nous emmène en Italie avec Liszt et dans les paysages de la Sonate « Pastorale » de Beethoven. Le Coréen prévoit aussi un détour par les contrées hongroises et roumaines où Bartók recueillit le folklore stylisé dans la suite En plein air (1926). Il n’aura pas échappé à l’ancien élève de Michel Béroff que le quatrième des cinq morceaux flirte avec un impressionnisme qui, malgré son étrangeté et ses accents typés, n’est pas toujours loin de la démarche des Ravel et Debussy.

« Son jeu cantabile et délié, à la virtuosité phénoménale, son piano parfumé et élégant, ranime l’âme d’un Chopin des temps anciens », notait un jour Classica.

Mais avant de faire valser le salon de son cher Frédéric, Seong-Jin Cho nous emmène en Italie avec Liszt et dans les paysages de la Sonate « Pastorale » de Beethoven. Le Coréen prévoit aussi un détour par les contrées hongroises et roumaines où Bartók recueillit le folklore stylisé dans la suite En plein air (1926). Il n’aura pas échappé à l’ancien élève de Michel Béroff que le quatrième des cinq morceaux flirte avec un impressionnisme qui, malgré son étrangeté et ses accents typés, n’est pas toujours loin de la démarche des Ravel et Debussy.