Trio Wanderer 7
Trio Wanderer © Francois Sechet

Trio Wanderer

Vincent Coq piano
Jean-Marc Phillips-Varjabédian violon
Raphaël Pidoux violoncelle

En 1840, Mendelssohn compose une page qui « dans bien des années réjouira encore nos enfants et petits-enfants », commente Robert Schumann. Trois lustres après un enregistrement qui fit date, les Wanderer, que l’on sait brillants et passionnés comme au premier jour, revisitent le chef-d’œuvre du prodigieux Félix.

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Changement d’ambiance à l’abord de l’Opus 67 de Chostakovitch, sommet d’intensité chambriste composé à la fin de la guerre à la mémoire d’un ami cher. Parions que la formation française y mette autant de finesse que dans sa mythique gravure de 2004 (Harmonia Mundi), référence que les discophiles ont raison de décrire comme la plus distinguée et éloquente de toutes.

En 1840, Mendelssohn compose une page qui « dans bien des années réjouira encore nos enfants et petits-enfants », commente Robert Schumann. Trois lustres après un enregistrement qui fit date, les Wanderer, que l’on sait brillants et passionnés comme au premier jour, revisitent le chef-d’œuvre du prodigieux Félix.

Changement d’ambiance à l’abord de l’Opus 67 de Chostakovitch, sommet d’intensité chambriste composé à la fin de la guerre à la mémoire d’un ami cher. Parions que la formation française y mette autant de finesse que dans sa mythique gravure de 2004 (Harmonia Mundi), référence que les discophiles ont raison de décrire comme la plus distinguée et éloquente de toutes.