Adam Laloum

piano

Lucile Richardot

Mezzo-soprano

Pierre Fouchenneret

violon

Quatuor Strada

Sarah Nemtanu violon
Deborah Nemtanu violon
Lise berthaud alto
François Salque violoncelle

Lyrisme mélancolique ici, emportement passionné là, poésie romantique partout.

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Soutenu par le clavier d’Adam Laloum, l’archet de Lise Berthaud fera le lien entre les Märchenbilder de Schumann, aussi rêveurs qu’impétueux, et l’Opus 91 de Brahms, tout de vague à l’âme mordoré.

L’altiste retrouvera ensuite sa place au sein du carré d’as qu’elle forme avec Pierre Fouchenneret, Sarah Nemtanu et François Salque pour donner corps au tumultueux Concert qu’Ernest Chausson composa en pensant à Eugène Ysaÿe.

Pas de quoi intimider Deborah Nemtanu, dont le timbre chaud semble fait pour enflammer ce vaste drame chambriste. Couleurs sombres encore dans la Chanson perpétuelle aux arrière-pensées symbolistes, où Lucile Richardot évoquera le souvenir de l’amour heureux.

Lyrisme mélancolique ici, emportement passionné là, poésie romantique partout.

Soutenu par le clavier d’Adam Laloum, l’archet de Lise Berthaud fera le lien entre les Märchenbilder de Schumann, aussi rêveurs qu’impétueux, et l’Opus 91 de Brahms, tout de vague à l’âme mordoré.

L’altiste retrouvera ensuite sa place au sein du carré d’as qu’elle forme avec Pierre Fouchenneret, Sarah Nemtanu et François Salque pour donner corps au tumultueux Concert qu’Ernest Chausson composa en pensant à Eugène Ysaÿe.

Pas de quoi intimider Deborah Nemtanu, dont le timbre chaud semble fait pour enflammer ce vaste drame chambriste. Couleurs sombres encore dans la Chanson perpétuelle aux arrière-pensées symbolistes, où Lucile Richardot évoquera le souvenir de l’amour heureux.