Lucas et Arthur Jussen
Lucas et Arthur Jussen © Marco Borggreve

Lucas et Arthur Jussen

pianos

« Non seulement ce sont deux bons pianistes qui jouent ensemble, mais chacun ressent aussi les moments les plus furtifs et les plus individuels de l’interprétation de l’autre », disait le regretté Sir Neville Marriner de Lucas et Arthur Jussen, frères prodiges du clavier.

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Du haut de leur vingtaine, les Néerlandais renverront d’abord Mozart et Schubert dos à dos. Un siècle après le scandale que la première du Sacre du printemps déclenchait dans cette même salle sous la baguette de Pierre Monteux – la chorégraphie de Nijinski n’y étant pas pour rien –, ils s’attaqueront ensuite à la version pour deux pianos du sulfureux ballet, « série de cérémonies de l’ancienne Russie » (Stravinsky dixit) aux rythmes redoutables.

« Non seulement ce sont deux bons pianistes qui jouent ensemble, mais chacun ressent aussi les moments les plus furtifs et les plus individuels de l’interprétation de l’autre », disait le regretté Sir Neville Marriner de Lucas et Arthur Jussen, frères prodiges du clavier.

Du haut de leur vingtaine, les Néerlandais renverront d’abord Mozart et Schubert dos à dos. Un siècle après le scandale que la première du Sacre du printemps déclenchait dans cette même salle sous la baguette de Pierre Monteux – la chorégraphie de Nijinski n’y étant pas pour rien –, ils s’attaqueront ensuite à la version pour deux pianos du sulfureux ballet, « série de cérémonies de l’ancienne Russie » (Stravinsky dixit) aux rythmes redoutables.