Tanguy de Williencourt
Tanguy de Williencourt ©Jean-Baptiste Millot

Tanguy de Williencourt

piano

Vienne, 1829. Mort et enterré depuis plusieurs mois, Schubert laisse quelques Lieder inédits. Tobias Haslinger les réunit dans un recueil au titre sans équivoque : Le Chant du cygne.
Soit sept mélodies sur des rimes du jeune Ludwig Rellstab qui, dit-on, passèrent entre les mains de Beethoven avant d’atterrir sur le bureau du cher Franz, et six pièces d’après Heine, qui font treize.

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Pour repousser le mauvais œil, on leur adjoint un Pigeon voyageur nommé « Sehnsucht » – comprenez : cette langueur nostalgique qui emplit le coeur et l’oeuvre du compositeur.
Dix ans plus tard, Liszt s’empare du cahier pour le compte du même éditeur. Du pain bénit pour Tanguy de Williencourt, dont le sens de la narration interrogera cette réinterprétation sans paroles.

Vienne, 1829. Mort et enterré depuis plusieurs mois, Schubert laisse quelques Lieder inédits. Tobias Haslinger les réunit dans un recueil au titre sans équivoque : Le Chant du cygne.
Soit sept mélodies sur des rimes du jeune Ludwig Rellstab qui, dit-on, passèrent entre les mains de Beethoven avant d’atterrir sur le bureau du cher Franz, et six pièces d’après Heine, qui font treize.

Pour repousser le mauvais œil, on leur adjoint un Pigeon voyageur nommé « Sehnsucht » – comprenez : cette langueur nostalgique qui emplit le coeur et l’oeuvre du compositeur.
Dix ans plus tard, Liszt s’empare du cahier pour le compte du même éditeur. Du pain bénit pour Tanguy de Williencourt, dont le sens de la narration interrogera cette réinterprétation sans paroles.