Benjamin Grosvenor
Benjamin Grosvenor © Andrej Grilc

Benjamin Grosvenor

piano

Du neuf avec du vieux !
Comprenez : la Chaconne pour violon seul de Bach réécrite pour dix doigts de pianiste par Ferruccio Busoni, des moyens techniques romantiques mis au service des formes anciennes par César Franck, une appropriation des suites de danse du XVIIIe siècle signée Maurice Ravel.

Lire la suite

Bref, Benjamin Grosvenor réexplore une partie du programme du disque Hommages (Decca) paru en 2016. Lequel émerveillait alors les critiques les plus exigeants (Diapason d’or, 4 étoiles de Classica, Choix de France Musique et on en passe). Le Britannique fait cette fois honneur aux dames en ouvrant son récital avec les sept variations que Clara Schumann tirait en 1853 d’un thème emprunté aux Bunte Blätter de son cher époux, preuve d’amour parmi d’autres.

Du neuf avec du vieux !
Comprenez : la Chaconne pour violon seul de Bach réécrite pour dix doigts de pianiste par Ferruccio Busoni, des moyens techniques romantiques mis au service des formes anciennes par César Franck, une appropriation des suites de danse du XVIIIe siècle signée Maurice Ravel.

Bref, Benjamin Grosvenor réexplore une partie du programme du disque Hommages (Decca) paru en 2016. Lequel émerveillait alors les critiques les plus exigeants (Diapason d’or, 4 étoiles de Classica, Choix de France Musique et on en passe). Le Britannique fait cette fois honneur aux dames en ouvrant son récital avec les sept variations que Clara Schumann tirait en 1853 d’un thème emprunté aux Bunte Blätter de son cher époux, preuve d’amour parmi d’autres.