Les Quatre Saisons
Tango Seasons
Mario Stefano Pietrodarchi
bandonéon
Gabetta Consort
Andrés Gabetta
violon et direction musicale
Purcell
Timon d’Athènes, Ouverture
Vivaldi
Le Printemps RV 269
L’Été RV 315
L’Automne RV 293
L’Hiver RV 297
Piazzolla
Invierno Porteño
Otoño Porteño
Primavera Porteño
Verano Porteño
Molinelli
Estate Reloaded
Théâtre des Champs-Élysées
Tarifs 30€ | 15€ (scolaires et étudiants -26 ans)
Gratuit -9 ans
Groupes et Collectivités: nous contacter
Comment ça marche ?
De 7 à 10 ans
Plus d’informations
Il n’y a plus de saisons ?
Haydn, Tchaïkovski ou Milhaud jusqu’à Max Richter et Philip Glass vous diraient le contraire.
Sur instruments anciens, la bande à Andrés Gabetta propose une lecture croisée des fameux Concertos pour violon de Vivaldi, représentation pastorale du cycle de la nature, et des Cuatro Estaciones Porteñas de Piazzolla, évocation de la vie d’un habitant des bidonvilles de Buenos Aires.
Sans faire littéralement écho au vénitien, l’Argentin, maître du tango, ne se prive tout de même pas de quelques références au XVIIIe siècle dans certains passages fugués, mélodies saccadées ou tournures harmoniques spécifiques.
Pour finir, Estate reloaded permettra au bandonéoniste Mario Stefano Pietrodarchi d’intervenir dans le finale de L’Été du Prêtre roux, revisité par Roberto Molinelli.
Il n’y a plus de saisons ?
Haydn, Tchaïkovski ou Milhaud jusqu’à Max Richter et Philip Glass vous diraient le contraire.
Sur instruments anciens, la bande à Andrés Gabetta propose une lecture croisée des fameux Concertos pour violon de Vivaldi, représentation pastorale du cycle de la nature, et des Cuatro Estaciones Porteñas de Piazzolla, évocation de la vie d’un habitant des bidonvilles de Buenos Aires.
Sans faire littéralement écho au vénitien, l’Argentin, maître du tango, ne se prive tout de même pas de quelques références au XVIIIe siècle dans certains passages fugués, mélodies saccadées ou tournures harmoniques spécifiques.
Pour finir, Estate reloaded permettra au bandonéoniste Mario Stefano Pietrodarchi d’intervenir dans le finale de L’Été du Prêtre roux, revisité par Roberto Molinelli.