Zimmermann Perianes 1
Tabea Zimmermann ©Susesch Bayat - Javier Perianes ©Igor Studio

Tabea Zimmermann alto
Javier Perianes piano

 

«La place discrètement centrale que l’alto occupe dans la musique de chambre me correspond totalement», affirme Tabea Zimmermann qui trouve en Javier Perianes un partenaire de poids dans la conception de cet ambitieux programme musical d’œuvres pour alto et piano, dont la plupart n’ont pas été conçues pour cette formation instrumentale. Les choix musicaux des deux artistes empruntent à leurs racines allemandes et espagnoles respectives pour un vol d’horizon des plus singuliers.

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L’Opus 120 n°2, sans doute le présent le plus poignant qu’ait offert Brahms aux altistes, succède à la sonate Arpeggione de Schubert, initialement écrite pour un instrument qui porte d’ailleurs son nom : une hybridation de l’alto et du violoncelle, jouée avec un archet. D’abord composées pour voix et piano, les 7 Chansons populaires espagnoles de Manuel de Falla ont, elles aussi, éprouvées de nombreuses transcriptions ; à cette époque, il rêve d’organiser un concours de flamenco…

Les deux solistes le rejoignent avec Le Grand Tango de Piazzolla, une oeuvre ardente à la frontière entre rythmes traditionnels et syncopation inspirée par le jazz. Une belle manière de clôturer ce récital aux trajectoires historiques, culturelles et musicales foisonnantes.

«La place discrètement centrale que l’alto occupe dans la musique de chambre me correspond totalement», affirme Tabea Zimmermann qui trouve en Javier Perianes un partenaire de poids dans la conception de cet ambitieux programme musical d’œuvres pour alto et piano, dont la plupart n’ont pas été conçues pour cette formation instrumentale. Les choix musicaux des deux artistes empruntent à leurs racines allemandes et espagnoles respectives pour un vol d’horizon des plus singuliers.

L’Opus 120 n°2, sans doute le présent le plus poignant qu’ait offert Brahms aux altistes, succède à la sonate Arpeggione de Schubert, initialement écrite pour un instrument qui porte d’ailleurs son nom : une hybridation de l’alto et du violoncelle, jouée avec un archet. D’abord composées pour voix et piano, les 7 Chansons populaires espagnoles de Manuel de Falla ont, elles aussi, éprouvées de nombreuses transcriptions ; à cette époque, il rêve d’organiser un concours de flamenco…

Les deux solistes le rejoignent avec Le Grand Tango de Piazzolla, une oeuvre ardente à la frontière entre rythmes traditionnels et syncopation inspirée par le jazz. Une belle manière de clôturer ce récital aux trajectoires historiques, culturelles et musicales foisonnantes.