Jonathan Biss
« Beethoven est tellement exigeant qu’on se sent investi d’une responsabilité, d’un certain poids lorsqu’on interprète sa musique », vous dira Jonathan Biss.
« Beethoven est tellement exigeant qu’on se sent investi d’une responsabilité, d’un certain poids lorsqu’on interprète sa musique », vous dira Jonathan Biss.
Outre l’incontournable Boléro et la célèbre Pavane pour une infante défunte, l’Orchestre National de Lille fête Ravel hors des sentiers battus.
Chargé du grand finale de notre 50e saison, le Toulousain lance les invitations pour un anniversaire-surprise dont programme et têtes d’affiches seront dévoilés le jour J
Grand Pleyel de concert ou pianino droit comme le maître en jouait dans ses appartements, l’heure est aux nouvelles perspectives.
Acteur ô combien mélomane, Mathieu Amalric prêtera sa voix à la plume de Maurice Ravel, pour tenter d’en percer les mystères
Le doigté d’Adam Laloum et le l‘archet de Liya Petrova pour un programme début XXe siècle : Debussy, Strauss, Respighi
Piano à quatre mains : si les secrets de musique se transmettent de mère en fils, Gaspard Dehaene en reçut certainement d’Anne Queffélec.
C’est une amitié de longue date que les Modigliani entretiennent avec le jeune Ravel, toujours abordé avec une « brillante finesse »
Mise en relation de Ravel et Moussorgski avec ce programme franco-russe, pour le prince anglais du piano
Les quatre musiciens reviennent au grand Beethoven dont le finale du « Gassenhaeur » se retient comme une chanson populaire